Pourquoi c'est important
Le tourisme représente 11% des émissions de GES de la France. Comme tous les autres secteurs, nous devons faire notre part pour réduire nos émissions afin d’atteindre la neutralité carbone en 2050, comme le prévoit la Stratégie Nationale Bas-Carbone de la France.
Pour une station comme La Plagne, les émissions de GES sont liées principalement à notre activité touristique : le transport et les bâtiments en tête. Ce qui pèse le plus, ce sont les émissions “indirectes”, celles qui sont situées en amont et en aval de nos activités : les émissions liées au transport des visiteurs qui se rendent à La Plagne en font partie.
Nos premiers pas
Notre bilan carbone
Dès l'été 2022, La Plagne a démarré un travail de calcul de son bilan carbone avec le cabinet UTOPIES. Retrouvez toutes les informations par ici.
Décarboner le transport : comment on fait ?
Nous le savons, le plus gros poste d’émissions de gaz à effet de serre de notre destination concerne le transport des visiteurs. Pour résoudre ce problème, plusieurs options s’offrent à nous :
👉 Investir massivement dans des solutions alternatives au transport carboné. La solution de l’ascenseur valléen.
👉 Inciter les usagers à modifier leurs comportements au quotidien : covoiturage, navettes, train…
ET SI ?
Un projet d’ascenseur valléen destiné à permettre la liaison directe entre la gare SNCF d’Aime-la-Plagne, accueillant les trains en provenance directe des grandes capitales européennes et des grandes villes françaises, et la gare routière de Plagne Centre est à l’étude.
Principaux objectifs :
-Offrir une liaison décarbonée jusqu'à la station (économies de CO2 et de particules fines) aux clients, mais aussi aux saisonniers et aux locaux, tout en étant plus rapide qu'un accès routier
-Faciliter le trajet de nos vacanciers, qu'ils arrivent en train (départ sur le quai de la gare ferroviaire) ou en voiture (grands parkings en vallée, en partie « couverts ») à proximité de la RN90, colonne vertébrale routière de la Tarentaise. On évite ainsi les équipements spéciaux pour accéder en station l'hiver
-Intégrer tous les services nécessaires, tant en vallée (stationnements...) qu'en altitude (navettes propres jusqu'à la destination finale des clients), offrant une alternative pérenne, sécurisée et écologique à l'accès routier
PROPOSER DES ALTERNATIVES
et faire évoluer les usages
La navette domicile-travail pour les salariés du domaine skiable
Précurseur en termes d’alternative au transport individuel, le domaine skiable de La Plagne propose depuis 60 ans plusieurs navettes régulières à ses salariés pour leurs trajets du quotidien vallée / station. En hiver, plusieurs départs sont organisés depuis différents sites en vallée et dans les villages du Versant du Soleil (en face de la station). Une vraie solution à la réduction de notre impact mobilité.
REPORT MODAL : KESAKO ?
Le report modal est le fait de substituer un mode de transport à un autre, moins émetteur de gaz à effet de serre : par exemple, remplacer la voiture par le vélo, remplacer l'avion par le train... C'est le meilleur moyen de faire baisser les émissions ! Cela semble parfois compliqué, car on doit inciter puis convaincre les utilisateurs de modifier progressivement leurs habitudes.
Rénover et transformer le bâti
Plagne Bellecôte, la plus grande opération de rénovation en montagne
Le groupe PRIAMS a racheté le vendredi 30 septembre 2022 l’ensemble de la barre d’immeubles de Plagne Bellecôte. Ce bâtiment de 15 000 m² abrite 405 appartements soit environ 2 000 lits qui étaient détenus jusqu’à présent par 3 400 multipropriétaires. Le groupe de promotion immobilière souhaite le rénover entièrement d’ici 2025 en réduisant le nombre d’appartements à 250 et 1 500 lits. Le bâtiment sera entièrement dépollué, mis à nu et repensé afin d’être esthétiquement plus réussi, mais également en vue de réduire son empreinte environnementale avec la mise en place d’une chaufferie biomasse et de panneaux solaires couvrant plus de 50% des besoins du bâtiment.
Le ‘Paquebot des Neiges’ de Plagne Aime 2000
En 2021, La Plagne a chargé une équipe de designers énergétiques d’une tâche complexe : réaliser un “audit quantique” énergétique de l’un des bâtiments les plus iconiques de La Plagne, l’immense “Paquebot des Neiges”, soit 860 appartements et 2 500 lits, situé à 2 100 m d’altitude.
Leur mission : penser autrement la rénovation de ce bâtiment avec une approche par les usages du bâtiment. Comment y vit-on ? À l’année ? En saison ? Comment chauffe-t-on ? Les appartements mais aussi les nombreux communs (bureaux, commerces, restaurants…). Comment réduire l’impact énergétique de ce bâtiment tout en améliorant le confort de ses occupants ?
Principaux enseignements
🪟 Isoler et améliorer l’étanchéité à l’air
⅔ de la surface du bâtiment est composée de panneaux vitrés. Il faudrait les remplacer par de nouvelles huisseries fabriquées sur place par un menuisier et un vitrage de qualité. Le petit hic : le nombre de panneaux à remplacer. Le menuisier local estime son travail à 400 ans pour tout réaliser…
☀️ Produire de l’énergie renouvelable et locale
Grâce à l’installation de panneaux solaires sur les façades par exemple (les toits étant proscrits à cause des normes incendie). L’électricité produite pourrait être consommée sur place via un modèle d’autoconsommation collective.
🤲 Repenser notre façon de vivre en altitude
C’est LE principal enseignement de cette étude. Cet ensemble immobilier a été imaginé à l’époque de sa construction comme un lieu collectif favorisant les échanges et la vie commune. Mais pas au niveau énergétique. Chaque unité d’appartement est indépendante dans sa consommation. Il faudrait passer de ‘Chacun son compteur’ à la gestion des systèmes énergétiques par une entité collective. Ainsi on pourrait repenser la façon de vivre collectivement en altitude : mieux se chauffer, limiter notre impact, et vivre le plus longtemps possible là haut, 4 mois, 6 mois, ou plus…
Réduire notre empreinte directe : carburant de synthèse et eco conduite
Les émissions directes de gaz à effet de serre (GES) du domaine skiable, remontées mécaniques électriques la plupart du temps, représentent 9% (source : premières données du bilan GES de La Plagne, 2022) du bilan carbone de La Plagne. C'est sur ce périmètre que la chambre professionnelle des domaines skiables français a annoncé l'atteinte de la neutralité carbone à l'horizon 2037. Mais comment s'y prendre ?
Le damage représente une des sources principales d’émissions de GES des activités du domaine skiable, avec 23% de son empreinte carbone directe (données bilan carbone UTOPIES, 2022) du fait de l’usage des énergies fossiles. Réduire les consommations, via notamment des formations à l’éco conduite, et sortir des énergies fossiles sur ce poste est donc un sujet prioritaire.
A la suite d’un test concluant mené sur le site des Arcs puis à La Plagne, le domaine skiable décide du passage de l’intégralité de son parc de dameuses au carburant de synthèse HVO à compter de la saison 2022. D’origine 100% renouvelable, fabriqué à partir de déchets de graisses et d’huiles végétales usagées, sans huile de palme, et compatible avec les appareils de l’ensemble des constructeurs partenaires, ce substitut au diesel réduit de 83% les émissions de CO2. L’utilisation du HVO sera effectif dès cet hiver 2022/2023 sur 100 % des dameuses.
🪧En projet :
- Test de transformation d’un 4x4 thermique en électrique en 2023
1er véhicule disponible : printemps 2023 - Prototype de dameuse électrique en test en 2023. Puis renouvellement progressif du parc.
L'eau, une ressource précieuse
La ressource en eau est un élément structurant des territoires de montagne. Elle interagit avec de nombreux thèmes tels que le tourisme, l’alimentation en eau potable, les risques naturels ou encore les industries.
Veolia & sa filiale l’ECHM sont chargés de la protection de la ressource en eau sur le territoire, la mise en place d’outils de gestion comme un logiciel de supervision relié aux débitmètres a permis des économies d’eau.
💧 L’eau représente aussi un paramètre clé pour les professionnels du domaine skiable qui l’utilisent pour la production de neige de culture et pour sécuriser l’activité économique hivernale. C’est donc du côté de l’Observatoire Environnemental de la SAP (Société d’Aménagement de La Plagne, en charge du domaine skiable) que l’on scrute l’eau toute l’année car c’est une spécificité du milieu montagnard : l’eau y est présente sous forme gazeuse, liquide et solide..
❄️ Le domaine skiable comporte une forte densité hydrographique, caractéristique des territoires de montagne. Les confluents des cours d’eau du domaine skiable sont aux nombres de 3 :
-L’Isère qui se situe au nord du domaine skiable ;
-Le Ponturin situé au nord-est du domaine skiable ;
-Le Doron de Champagny-en-Vanoise situé au sud du domaine skiable, et qui se jette ensuite dans le Doron de Bozel.
Les rivières du Ponturin et du Doron de Bozel se jettent ensuite à leur tour dans la rivière Isère. La plupart des cours d’eau présents sur le domaine skiable sont temporaires et alimentent les cours d’eau principaux et permanents, situés plus en aval.
En plus de ces quelques ruisseaux, le périmètre de l’Observatoire Environnemental en place sur le domaine skiable de La Plagne intègre six retenues d’altitude, ainsi que plusieurs lacs naturels.
Hydroski, projet de recherche sur l’impact d’un domaine skiable sur les ressources en eau
La Compagnie des Alpes, structure mère du gestionnaire du domaine skiable de La Plagne, soutient un projet de recherche avec de prestigieux instituts (INRAE, CNRS, CNRM-Météo France) visant à modéliser la perturbation hydrologique liée à la présence d’un domaine skiable à différentes échelles de bassins versants, et en intégrant les différents scénarios de changement climatique. Le projet est finalisé et les conclusions sont en cours de relecture par un comité scientifique. Le site de La Plagne a servi de site pilote pour réaliser ce projet de recherche qui permet de mesurer les impacts quantitatifs selon les mois de l’année, et à des échelles spatiales micro ou à l’échelle d’une vallée au point de rencontre avec l’Isère.
Sobriété énergétique
Dans le contexte énergétique particulièrement difficile de cette année, mais également dans un objectif à plus long terme de réduction de notre impact, La Plagne s’engage sur un certain nombre de mesures de réduction de la consommation de ses infrastructures.
💡 Dans nos communes
La commune d’Aime-la-Plagne a fait le choix de renoncer aux illuminations de Noël. C’est avant tout un geste symbolique et d’exemplarité pour participer à l’effort national. Seul un sapin sera illuminé sur la période des vacances de Noël et l’accent sera mis sur les décorations de Noël non lumineuses. Par cette action mais aussi par l’extinction de l’éclairage public la majeure partie de la nuit, y compris dans les stations, la ville contribue à la baisse de la consommation d’électricité.
Cela représente l’extinction de 1150 points lumineux pendant 4h
🏔️ Sur le domaine skiable
Illustration 160 000 kwh économisés (sur 1an ?) à vérifier
Objectif court terme (hiver 2022/2023) : -8 à 10% de consommation d’électricité sur le domaine skiable
- Production de neige de culture "au plus juste" et optimisée
- Sensibilisation des équipes aux bonnes pratiques d’économie énergétique
- Adaptation de la vitesse des remontées mécaniques à la fréquentation
❄️ Sur la piste olympique de bobsleigh
L’éclairage
Pour l’éclairage, le nombre de points lumineux sera réduit au maximum et les lampes LED seront généralisées sur l’ensemble de la piste. Les lampes qui ne pourront pas passer en LED verront leur temps d’utilisation abaissé au strict minimum. D'une manière générale, le temps d’éclairage de la piste sera limité aux seuls temps d’exploitation touristique et d’entretien.
La réfrigération
La production de froid est le second levier pour réaliser des économies. L’idée est de faire tourner les compresseurs à minima en jouant avec l’inertie et les conditions météorologiques qui conditionnent la conduite de la production de froid.
Pour être le plus efficace possible, La Plagne renforce l’équipe technique d’une personne supplémentaire qui sera détachée pour procéder aux ajustements nécessaires.
💧 Les piscines intérieures et extérieures
-Baisse de la température de l’eau de 0,5 à 1°C
-Optimisation des périodes d’ouverture en fonction de la fréquentation
-Mise en place d’un système de géothermie pour le chauffage de la piscine de Champagny-en-Vanoise
🔥 Chaufferie biomasse de Plagne Centre, une 1ère en montagne
Mise en service en décembre 2009, la chaufferie biomasse de Plagne Centre reste une réalisation unique en montagne, à 1900 m d’altitude. Initiée par une association de propriétaires de Plagne Centre et Veolia Eau, cette opération se révèle être une solution à la problématique majeure du chauffage dans une station de sports d’hiver créée au début des années 60. Des travaux d’isolation des appartements sont réalisés en parallèle de la construction pour réduire les dépenses énergétiques inutiles. La chaufferie biomasse alimente 90% du site de Plagne Centre, soit une cinquantaine d’immeubles et 90 commerces. Sous forme de morceaux de bois déchiquetés, les écorces sont issues de scieries et de fibres ne pouvant être recyclées en compost. Le but à terme est de se fournir en plaquettes forestières auprès des exploitants locaux afin de les aider à finaliser des projets liés à la filière bois.
Mieux intégrer nos aménagements
L’Observatoire Environnemental, au travers de son volet Paysages, nous permet d’évaluer et de limiter l’impact de nos aménagements sur les paysages dans la durée, qu’il s’agisse de paysages protégés (sites classés, inscrits, Parc national de la Vanoise, réserve naturelle, patrimoine bâti) ou de sites fréquentés (glacier de la Chiaupe, belvédère de la Grande Rochette, GR...), de mesurer l’efficacité des mesures d’intégration paysagère et/ou de réhabilitation. Par un suivi photographique régulier, nous mesurons l’évolution des ‘vues paysagères’ à 3 niveaux d’échelle : le territoire dans son ensemble, des vues plus locales, et des vues parcellaires (comme un départ de remontée mécanique par exemple). L’analyse de ces trois échelles permet d’envisager des solutions à différents niveaux : revégétalisation pour mieux intégrer les terrassements, réhabilitation de bâtiments, remodelages plus intégrés aux terrains naturels, …
Adaptation
NOUVELLE ERE AVEC « LIVE 3000 »
Domaine de haute altitude : le début d’une nouvelle ère avec Live 3000
En 2023, le réaménagement du secteur permet de s’éloigner des zones les plus soumises aux aléas liés au dégel du permafrost* ; les anciennes installations seront démantelées sur trois ans. Pour un accès plus rapide et pérenne à cette partie du domaine skiable, la trajectoire de la nouvelle remontée mécanique a été décalée sur un autre sommet de haute altitude (3 080 m), situé plus au sud et surtout, ancré dans la roche. Baptisée « Live 3000 », cette nouvelle « expérience » est accessible aux skieurs et aux piétons, été comme hiver.
*Permafrost : sol gelé en permanence.
Les images ci-dessous illustrent l'évolution du glacier entre 1952 et 2019.
Chiffres clés : Les aménagements du glacier de la Chiaupe démontés dans les 3 ans :
• suppression de 35 pylônes & poteaux
• 9 bâtiments en moins
• 9 hectares de surface de pistes de ski en moins
• 1 remontée mécanique conservée au lieu de 3
La gestion des déchets
La gestion de tous les déchets est faite par la communauté de communes des Versants d’Aime pour les communes d’Aime-la-Plagne, La Plagne Tarentaise, Landry et Peisey. Du côté de Champagny-en-Vanoise, c’est la communauté de communes Val Vanoise qui s’en charge.
Toute l’année, elles mènent des actions sur le territoire afin de sensibiliser et d’engager les professionnels et particuliers dans une démarche de respect des ressources : réduction, tri et traitement des déchets.
Comment sont gérés nos déchets ?
Ils sont tous transférés puis traités par Savoie Déchets. Après avoir été collectés, ils sont acheminés vers Chambéry via le quai de transfert de Valezan.
Les emballages recyclables sont envoyés vers le centre de tri de Chambéry, les ordures ménagères sont quant à elles dirigées vers l’Unité de Valorisation Energétique et de Traitement des Déchets (UVETD). Les déchets sont ainsi traités en continu dans 3 lignes d’incinération à une température supérieure à 850°C. La chaleur qui résulte de cette combustion est utilisée pour fournir de la vapeur qui sera valorisée sous deux formes différentes : électrique et thermique.
QU’EN EST-IL DES BIODÉCHETS ? La COVA s’est saisie de la question des biodéchets.
Côté professionnels : un service de collecte de biodéchets est proposé depuis février 2023 aux restaurateurs d’Aime, Montalbert et Longefoy. Dès cet hiver 2023-24, le village de Montchavin-Les Coches sera inclus dans la démarche. L'objectif est ensuite d'inclure les villages d'altitude (2024-25). Aujourd’hui, c’est Tri Vallée qui collecte les biodéchets et les valorise en engrais puis en biogaz via un agriculteur disposant de son propre méthaniseur à Tournon. Dès janvier 2024, le souhait est de faire du compost sur place, via des installations Savoie Déchets au niveau de l’ancienne usine d’incinération de Valezan.
Côté particuliers : des composteurs individuels et collectifs sont mis à disposition pour la gestion des biodéchets et valorisation sous forme de compost.
Rénovation
La rénovation énergétique des bâtiments est en enjeu majeur pour lutter contre le réchauffement climatique et l’artificialisation des sols, mais aussi pour maintenir l’attractivité de La Plagne et répondre aux attentes de la clientèle en matière de qualité et de confort.
PARMI LES 3% DE L'IMPACT LIÉ AUX COLLECTIVITÉS Les impacts de la consommation énergétique des résidences et des bâtiments des collectivités représentent 31% de l'impact et sont dus pour :
• 27% au chauffage à l'électricité
• 71% au chauffage au fioul
PARMI LES 88% DE L'IMPACT DES VISITEURS : l'énergie des bâtiments touristiques représente 6% de l'impact.
A RETENIR : LOI CLIMAT ET RESILIENCE
Le cadre législatif se durcit avec la loi Climat et Résilience notamment afin d’accélérer l’effort en matière de rénovation énergétique.
Pour les passoires énergétiques
• Obligation de réalisation d’un audit énergétique.
• Gel des loyers.
• Interdiction de la mise en location.
Le Zéro Artificialisation Nette
• Réduire au maximum l’extension urbaine pour parvenir à réduire par deux la consommation d‘espace naturels, agricoles et forestiers d’ici à 2030.
• Zéro artificialisation nette en 2050.
• Intégration de ces objectifs dans le SCoT (Schéma de Cohérence Territorial, réalisé par l’APTV) et les PLU (Plan Local d’Urbanisme, réalisé par les communes).
ACTIONS À VENIR :
Création de la Maison des Propriétaires en décembre 2023 (Espace Plagnard - Plagne Centre)
-Institutionnaliser et pérenniser une relation de proximité et un dialogue
-Transmettre des informations premium, réaliser des événements conviviaux
-Centraliser la connaissance sur le parc immobilier et les propriétaires
-Faciliter la mise en relation des propriétaires et professionnels des travaux
Promotion de la surélévation – lorsqu’elle est opportune et adaptée
Création d’une procédure publique permettant d’octroyer des aides financières directes aux propriétaires, par les collectivités, en contrepartie de travaux et d’engagement de mise en location des logements