Eglise Notre-Dame (Aime) : En accès libre
La première église juchée sur la colline, perd son statut aux XIII-XIVe siècles au profil d'un édifice roman bâtit à ses pieds. Une foule de saints personnages vous attendent sur les voûtes et dans le chœur de l'église agrandie entre 1675 et 1678.
L'édifice, modifié au XVIIe siècle, conserve néanmoins quelques éléments du bâtiment dont la construction s'achève au XVe au pied de la colline Saint-Sigismond, en particulier des arcs en accolade au-dessus de la porte latérale d'entrée. Le portail principal en marbre gris, issu de la toute proche carrière de Villette, s'inspire directement des principes posés par François Cuenot en 1660 dans son livre d'architecture.
Les peintures des voûtes en trompe-l’œil sont commandées au milieu du XIXe siècle par trois frères : Alexandre, Auguste et Antoine Artari, artistes venus du Valsésia, dans le Piémont. Elles représentent les quatre grands prophètes de l'Ancien Testament, les Évangélistes et les quatre Pères de l'Eglise latine.
Le sculpteur Jean-Baptiste Delponte reconstruit le retable majeur en 1813 avec les éléments du retable originel de Jacques Clérant ayant échappé aux destructions révolutionnaires, et suivant les croquis de celui-ci. En son centre, le tableau de la Nativité de la Vierge peint par Jean-Pierre Tosi en 1803 est encadrée de colonnes torses ornées de pampres de vigne et de rosiers et, de part et d'autre, de saint Pierre et saint Paul.
Le deuxième registre met à l'honneur saint Grat et saint Roch, fréquemment implorés pour la protection des récoltes, pour le premier, et contre la peste pour le second, accompagnés de saint Jacques et saint François-de-Sales.
La chaire à prêcher sculptée par Jean-François Bernard en 1705, ainsi que les stalles du chœur réalisées par Pierre Chanu en 1728, sans doute jugées utiles pour haranguer la foule et pour le repos des édiles révolutionnaires, ont été préservées en 1794, contrairement au retables : Les six que vous découvrez dans les nefs latérales sont des restaurations du XIXe siècle dans le style néoclassiques.
Les peintures des voûtes en trompe-l’œil sont commandées au milieu du XIXe siècle par trois frères : Alexandre, Auguste et Antoine Artari, artistes venus du Valsésia, dans le Piémont. Elles représentent les quatre grands prophètes de l'Ancien Testament, les Évangélistes et les quatre Pères de l'Eglise latine.
Le sculpteur Jean-Baptiste Delponte reconstruit le retable majeur en 1813 avec les éléments du retable originel de Jacques Clérant ayant échappé aux destructions révolutionnaires, et suivant les croquis de celui-ci. En son centre, le tableau de la Nativité de la Vierge peint par Jean-Pierre Tosi en 1803 est encadrée de colonnes torses ornées de pampres de vigne et de rosiers et, de part et d'autre, de saint Pierre et saint Paul.
Le deuxième registre met à l'honneur saint Grat et saint Roch, fréquemment implorés pour la protection des récoltes, pour le premier, et contre la peste pour le second, accompagnés de saint Jacques et saint François-de-Sales.
La chaire à prêcher sculptée par Jean-François Bernard en 1705, ainsi que les stalles du chœur réalisées par Pierre Chanu en 1728, sans doute jugées utiles pour haranguer la foule et pour le repos des édiles révolutionnaires, ont été préservées en 1794, contrairement au retables : Les six que vous découvrez dans les nefs latérales sont des restaurations du XIXe siècle dans le style néoclassiques.
Tarifs
Gratuit
Dates et périodes d'ouverture
Toute l'année, tous les jours de 9h à 18h.
Eglise Notre-Dame (Aime) : En accès libre
73210 Aime-la-Plagne